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Par DomiDW le 8 Avril 2015 à 17:01
Terre d'audaces et de courage
Terre de géants et d'harmonie
Terre de rencontres
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Par DomiDW le 1 Février 2014 à 20:01
...La Belgique, pays de mon ascendance paternelleOriginaires des Flandres Orientales... Dans les années 30-40, mes grands-parents paternels sont venus en Wallonie pour travailler dans les mines.
L'origine de la Province du Hainaut remonte à 1795, lors de la réunion des Pays-Bas autrichiens à la France révolutionnaire, le département de Jemappes (parfois orthographié Jemappes, Jemmappes, Jemmape ou Jemappe) fut principalement fondé sur la réunion de la partie nord-est de l'ancien comté de Hainaut, du Tournaisis et d'une partie du comté de Namur (Charleroi).
Ce département doit son nom à la victoire des révolutionnaires contre les troupes impériales autrichiennes à la bataille de Jemappes en 1792.
Après la chute du Premier Empire, ce département fut dissous en 1814 et remplacé par la province de Hainaut sous le régime) hollandais.
Après1830, la Province de Hainaut devient belge. Ses limites ne furent définitivement établies qu'avec le rattachement de l'arrondissement de Mouscron lors de la fixation de la frontière linguistique en 1963.
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Par DomiDW le 28 Janvier 2014 à 00:05
Nivelle ...Un village bâti sur une île
L’origine du nom vient de : ny « division » et de velle « habitation », indiquant que le village a été bâti dans une île formée par deux bras de rivière.
Nivelle est une commune très ancienne puisqu’on en parle déjà en 863. Des biens situés dans ce village furent en effet donnés, à cette époque, à l’abbaye de Saint-Amand-Les-Eaux par Charles le Chauve. La commune faisait autrefois partie du Hainaut et du diocèse de Tournai. Elle a également fait partie, après la Révolution, de l’arrondissement de Douai. Au XVIIème siècle, des fouilles faites par un abbé de Saint-Amand-Les-Eaux,au hameau d’Hauterive, ont fait découvrir des sépultures, des poteries, des objets divers et des monnaies de l’époque Gallo-romaine.
Entre la Vallée du Décours et la Vallée de la Traitoire
La commune de Nivelle est située le long du chemin départemental 268. Elle est traversée par la Scarpe canalisée. Elle fait partie du canton de Saint-Amand rive gauche.
C’est un village très étendu se situant entre la vallée du Décours et celle de la Traitoire, à 3 kms de Saint-Amand-Les-Eaux, à 16 kms au Nord-ouest de Valenciennes et à 40 kms de Lille.
De riches terres agricoles
Le village de Nivelle possède de riches terres agricoles, la superficie agricole utilisée est de 428, ha 182 ha en terre labourables et 246 ha en herbes. Le village compte 12 exploitations agricoles, 2 commerces d‘alimentation : une boucherie et une boulangerie et 6 commerces divers.
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Par DomiDW le 27 Janvier 2014 à 23:41
Château-l'Abbaye : une histoire…
Mille ans d'histoire dans un écrin de verdure Toponymie
Ce petit bourg dont l’origine remonte à l’époque gallo-romaine – Castellum Dei puis Castellum Juxta Mortaigne (Abbatia S. Martini de Castello Juxta Mauritaniam) change de nom après son rattachement à la France.
Selon la légende, le village tiendrait son nom de l’abbaye Saint-Martin fondée par le roi Louis-le-Bègue (846-879), abandonnée ensuite vers 1135 et restaurée en 1140 par le Châtelain de Tournai Evrard Radoulx et Prince de Mortagne, qui voulut y être enterré.
Ce monastère, de l'ordre des Prémontrés, qui jouissait de 25000 livres de rente dans les derniers temps, avait eu pour premiers hôtes des moines de l'abbaye de Vicoigne.
En 1141, l'abbaye est mentionnée dans les actes de l'évêque d'Arras Alvise.
Mille ans d’histoire à l’ombre du Château du Lucron et de l’Abbaye des Prémontrés sont effacés par la révolution…
Seul vestige, le moulin « Rodolphe » disparaît à son tour lors de la Grande Guerre. Depuis, Château-l’Abbaye a troqué son passé glorieux et mouvementé contre un avenir rural plus serein.
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Par DomiDW le 25 Janvier 2014 à 01:32
Origine du nom : l'ouverture de la fosse Saint-Roch eut lieu en 1764, le jour de la fête de ce saint.
Son implantation au sud de la fosse Saint-Thomas semble avoir été choisie pour la relayer en profondeur. Ce fut cependant Saint-Thomas qui termina l'exploitation du gisement de la fosse Saint-Roch dont l'unique puits n'atteignit que 178 mètres de profondeur.
Les neuf bowettes creusées à différents niveaux recoupèrent l'ensemble du faisceau nord de Vieux-Condé qui fut d'abord déhouillé aux étages les plus profonds. Cette précaution fut sage car l'état du puits, que nous trouvons comblé jusqu'à 73 mètres en 1805, entraîna assez tôt l'abandon des étages inférieurs.
Postérieurement à 1805, l'incendie de l'accrochage à 53 mètres qui fit onze victimes, eut pour conséquence la fermeture de cet étage. De sorte que la fosse SaintRoch n'avait plus alors en exploitation que le seul étage à 73 mètres où elle déhouillait les belles veines: Douze Paumes~ A. Filons et Cinq Paumes, qui pouvaient encore "donner de l'ouvrage pour dix-huit mois". Une grande série de "travers blancs inclinés" ayant leur base à cet étage auraient en effet permis de terminer l'exploitation à l'amont, mais que A. Filons, veine sale et peu rentable, resta seule à déhouiller, la fosse fut mise en chômage le 17 février 1806.
Dès lors, en dépit d'un plaidoyer chaleureux le 22 février 1803 qui tendait à prouver que l'exploitation par Saint-Roch eut été la plus économique, le puits ne servit plus qu'à l'aérage et à la circulation du personnel.
Son état inspirait de telles craintes qu'il ne fut même pas possible de.le conserver pour cet usage restreint. Il avait en effet fallu le croisurer sur toute sa hauteur "dans les rocs, tourtiat, dièves et les bleus, de peur qu'il ne croule".
Le cuvelage, qui était "consommé", avait lui aussi été consolidé par des "pièces de bois soutenues par des vis". La fosse Saint-Roch fut remblayée et serrementée dans les dièves, en même temps que la fosse Saint-Thomas au cours du mois d'octobre 1811.
Malgré la satisfaction manifestée lors de l'exécution de ce serrement qui réduisit l'exhaure de la fosse Vieille-Machine, les remblais du puits s'affaissèrent jusqu'au dessous du tourtiat et cela en mars 1820.
Le serrement fut reconstruit à cette date et le puits comblé à nouveau "jusqu'à la surface de la terre".
Sources : Cercle d’Histoire et d’Archéologie de Vieux-Condé
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Par DomiDW le 23 Janvier 2014 à 21:56
La fosse du Chauffour, nommée fosse la Pensée fut foncée en 1822 à Abscon par la compagnie des Mines d'Anzin, sur un gisement gras et demi-gras et au sud-est de la concession de Denain.
L'extraction commence en 1824 et cesse en 1871, ses veines étant exploitées par les fosses Casimir Périer et Saint Mark. La fosse a extrait : 337.850 tonnes. Elle sert ensuite à l'aérage de Saint Mark. Profondeur finale : 594 m. La fosse sera frappée par 2 coups de grisou.
Le 9 avril 1823 : 22 morts.Le 26 juin 1824 : 20 morts
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