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CHÂTEAU-L'ABBAYE (59)
Gentilés : Castellabiens, Castellabiennes
"Entre l'Escaut et la Scarpe canalisées, la forêt domaniale de Raismes et la frontière belge, Château l'Abbaye est un village rural de 759 habitants situé à l'extrémité Nord du Parc Naturel Régional et traversé par la Trétoire. Nom de l'ancienne voie romaine de Bavay à Tournai, la commune doit son nom à une abbaye dont il ne subsiste aucun vestige. on sait que, fondée dans le Château de Mortagne par Louis le Bègue au IX siècle, elle fût restaurée au milieu du XII siècle par le châtelain de Tournai"...
Toponymie :
-1141 : CASTELLUM DEI, lettre d'Alvise, évêque d'Arras
-1155 : CASTELLUM MAURITANE, cartulaire de Château-l'Abbaye
-1155 : CASTELLUM, id - Documents divers :CHATEAU DE MORTAGNE
Armoiries :
"De gueules au senestrochère de carnation mouvant du flanc dextre, habillé d'or et tenant une rose au naturel feuillée de sinople."
Bibliothèque Nationale d'Autriche (Vienne) Album du Duc de Croÿ
Les origines :
Ce village tire son origine et son nom d'après ce qu'à écrit "Cellier", d'une abbaye fondée, à ce que prétendent certains chroniqueurs, par le roi Louis-Le-Bègue, abandonnée ensuite et restaurée vers 1140 par Evrard Radou, châtelain de Tournai et prince de Mortagne, qui voulut y être entérré. Nous voyons bien là une Abbaye.
Mais d'où vient le Château ? Il eût fallu dire tout au moins : tire la seconde moitié de son nom.
Mannier, prévoyant l'objection, déclare que l'abbaye fut fondée dans le château de Mortagne par Evrard Radou. Pour empruntée qu'elle soit à Floppens, cette assertion ne supporte pas l'examen. S'il arrivait que des seigneurs prissent à la fin de leur carrière l'habit religieux, et c'est ce que fit notamment le grand-père du sire de Mortagne en question, ils ne transformaient pas pour cela leur château en abbye. Evrard laissa à ses descendants celui de Mortagne qui devait jusqu'au XVIème siècle commander le confluent de l'Escaut et de la Scarpe. La vérité est qu'à l'endroit où fut établi le monastère existait déjà un village du nom de Château -l'-Abbaye. C'est dans les mêmes conditions que les villages de Bersillies (Belgique) et de Signy (France), pour ne citer que ceux-là, sont devenus Bersillies-l'-Abbaye et Signy-l'-Abbaye.
Un peu d'histoire :
- Certains chroniqueurs prétendent que l'origine du nom de la commune provient d'une Abbaye fondée par le roi Louis le Bègue.
- En 1140 après son abandon l'abbaye est restaurée par Evrard Radoulx, châteleain de Tournai et prince de Mortagne qui volut y être enterré.
- les premiers hôtes sont des moines de l'Abbaye de Vicoigne puis des moines de l'ordre des Prémontrés.
- En 1141 l'abbaye est mentionnée dans les actes de l'évêque d'Arras Alvise
- Les enfants de François Louis Joseph de Fernig y ont été baptisés.
Patrimoine :
L'église Saint-Nicaise de 1825, avec reliques de Sainte Odile (invoquée contre les maladies oculaires) et de Saint-Nicaise (archevêque martyr de Reims), est classée "monument historique". En ce qui concerne sa chronologie :
Elle a été construite de 1822 à 1825. Elle a subit divers réparations en 1853, sa toiture a été refaite en 1913. Février 1823 : Courrier du ministère de l'intérieur suite au projet de l'architecte Voisin.
"Si les efforts de Monsieur Voisin n'ont pas été couronné d'un succès complet, nous devons du moins lui savoir gré de la bonne volonté, en lui indiquant quelques nouvelles améliorations : - Les chapiteaux de ses pilastres sont barbares, il faut leur donner un profil d'arête. - Les poutres reposent à nu sur les pilastres alors qu'il n'y a point d'entablement intérieur. - Un profond plat fait très mauvais effet. Il serait mieux et plus économique de faire le sanctuaire carré."
Juillet 1913 : Réparation à la toiture de l'église pour le compte du ministère du culte, quand aux réparations au clocher elles ont été exécutées en février, dû a des dégâts causés par une tempête. Son statut juridique : propriété de la commune.
Personnalités liées à la commune :
- Nicolas de Montigny, Chanoine de l'Abbaye de Vicoigne, huitième abbé de Château-l'Abbaye, écrivit les annales de Vicoigne.
Source Sainte-Odile, creusée pour se remémorer que Sainte Odile , d'un coup de bâton, fit sortir l'eau du rocher. Voir l'histoire ...
Sources : Wikipédia / Mairie de Château-l'Abbaye / Généawiki / genehist
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- Sainte Aurélie :
- Sainte Aurélie fut une compagne de Sainte Ursule au IVe siècle. Aurélie vient du latin Aurelius, nom d'une célèbre famille romaine, lui-même issu de l'adjectif " aureus ", " doré ". Les Aurélie se caractérisent par leur clairvoyance. Elles sont exigeantes avec elles-mêmes, mais leur prudence les préserve des excès de l'ambition.
- Genre : Féminin
- Fête : le 15 Octobre
- Prénoms dérivés : Aurélia, Auria, Auriane
Les traits de caractère de Aurélie :
Nb. Plus un mot est gros, plus il représente un trait de caractère dominant.
Casse-cou Curieuse Dormeuse Boudeuse Câline Patiente Gentille Charmeuse Timide Émotive Calme Jalouse Courageuse Fière Gourmande Sensible Têtue Capricieuse Rêveuse Sage
Les célébrités portant le prénom Aurélie :
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People
Aurélie Konaté, Marcireau, Bancilhon -
Acteurs
- Aurélie Sorimont, Lepley, Debouchaud, Verillon
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Actrices
-- Aurélie Ouare, Boquien, Berrier
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Ces personnes ont vécu au XIX siècle.
28. Jean-Baptiste Wuilay. Est né le 15 août 1864 à Château-L’Abbaye. Il a vécu avec Marie Emilie Renoncourt (29), fille de Léon Joseph Renoncourt (58) et de Joséphine Bernard (59).
Jean-Baptiste a été journalier. Il est décédé le 2 octobre 1886, à l’âge de vingt-deux ans à Nivelles, Nord-Pas-de-Calais.
29. Marie Emilie Renoncourt. Est née le 11 août 1865 à Bruille St Amand. Elle a été journalière.
Jean-Baptiste Willai et Marie Emilie Renoncourt ont eu quatre garçons :
14. i. Désiré Willai. Il est né le 13 novembre 1892 à Nivelles, Nord-Pas-de-Calais. Il s’est marié le 8 mai 1920, à l’âge de vingt-sept ans a Château-l’Abbaye, Nord-Pas-de-Calais avec Marie Canipel (15), âgée de vingt-neuf ans, fille d’Adolphe Canipel (30) et de Léocadie Rousseau (31). Marie est née le 3 mars 1891 à Château-l’Abbaye, Nord-Pas-de-Calais. Elle est décédée le 17 février 1940, à l’âge de 48 ans à Nivelles, Nord-Pas-de-Calais. Désiré a été journalier. Il est décédé le 30 mars 1975, à l’âge de 82 ans à Nivelles, Nord-Pas-de-Calais.
ii. Jean-Baptiste Willai
iii. Jérôme Willai.
iv. Fernand Renoncourt
30. Adolphe Canipel, fils d’Alexandre François Canipel (60) et de Virginie Thréout (61). Il est né le 27 janvier 1860 à Nivelles, Nord-Pas-de-Calais. Il s’est marié le 9 juillet 1888, à l’âge de vingt-huit ans a Château-l’Abbaye, Nord-Pas-de-Calais avec Léocadie Rousseau (31), fille d’Ernest Théodore Rousseau (62) et de Sylvie Dronsart (63). Léocadie Rousseau est née le 2 octobre 1864 a Château-l’Abbaye, Nord-Pas-de-Calais.
Adolphe Canipel et Léocadie Rousseau ont eu neuf enfants (cinq filles et quatre garçons)
i. Germain Canipel
ii. Adolphe Canipel
iii. Marie Canipel.
iv. Léon Canipel
v. Henri Léon Canipel
vi. Hélène Marie Canipel
vii. Marthe Canipel
viii. Léa Sylvie Canipel
vix. Sylvie Canipel
31. Léocadie Rousseau. Est née le 2 octobre 1864 à Château-l’Abbaye. Elle a été journalière.
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1° GÉNÉRATION(Souche)------------------------------------------------------------------------------------
1 Aurélie SAUDEMONT (27.2.1982 Condé sur L'Escaut - ..)
2°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
2 Hervé Michel SAUDEMONT (18.11.1959 Valenciennes, FR - ..)
Union le 26.4.1980 à Nivelles, FR
3 Dominique Estelle de WILDE (18.7.1955 Saint-Amand-les-Eaux, FR - ..)
3°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
4 Daniel SAUDEMONT
5 Liliane LECAT
6 Robert Valère de WILDE (4.8.1931 Wiers (Belgique) - 18.6.1981 Lille)
Union le 28 août 1954 à Wiers (Belgique)
7 Paulette WILLAI (3.7.1933 Nivelles, FR - ..)
4°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
10 Gabriel LECAT
12 Gaston de WILDE
13 Barbe Marie de MOOR
14 Désiré WILLAI (13.11.1892 Nivelles, FR - 30.3.1975 Nivelles, FR)
Union le 8.5.1920 à Château-l'Abbaye, FR
15 Marie CANIPEL (3.3.1891 Château-l'Abbaye, FR - 17.2.1940 Nivelles, FR)
5°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
28 Jean-Baptiste WILLAI (15.8.1864 Château-L'Abbaye - 2.10.1886 Nivelles, FR)
29 Marie Emilie RENONCOURT (11.8.1865 Bruille St Amand - ..)
30 Adolphe CANIPEL (27.1.1860 Nivelles, FR - 9.7.1888 Château-l'Abbaye, FR)
31 Léocadie ROUSSEAU (2.10.1864 Château-l'Abbaye, FR - ..)
6°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
58 Joseph RENONCOURT (23.7.1837 Nivelles, FR - 18.4.1917 Nivelles, FR)
28.1.1865 Nivelles, FR
59 Joséphine BERNARD (16.1.1841 Bruille-Saint-Amand, FR - 1917)
60 Alexandre François CANIPEL (1824 Thun St Amand - 9.3.1900 Nivelles, FR)
61 Virginie THRéOUT (6.3.1833 Nivelles, FR - ..)
62 Ernest Théodore ROUSSEAU (1828 - ..)
63 Sylvie DRONSART (22.12.1833 Château-l'Abbaye, FR - ..)
7°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
116 François Joseph RENONCOURT (1780 - 1851)
117 Catherine Joseph POULAIN (1793 - 1881)
118 François BERNARD (.. - 1851)
119 Véronique DUMEZ (1811 - ..)
120 Alexandre CANIPEL (1796 - 1845)
121 Angélique CANIPEL (1803 - 1880)
122 Antoine Joseph THRéOUT (1793 - 1852)
123 Amélie Marie GOSSELIN (1796 - ..)
126 André DRONSART (1794 - ..)
127 Sylvie DUBUCQ (1803 - ..)
8°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
240 Pierre Joseph CANIPEL (15.2.1755 Rosult, FR - 7.2.1830 Saint-Amand-les-Eaux, FR)
9.11.1787 Saint-Amand-les-Eaux, FR
241 Marie Louise BAUDUIN (22.4.1770 Saint-Amand-les-Eaux, FR - 5.10.1834 Saint-Amand-les-Eaux, FR)
242 Louis François CANIPEL (1773 - ..)
243 Amélie BERNARD (1773 - ..)
9°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
480 Anselme François CANIPEL (2.1.1722 Maulde, FR - 27.12.1797 Rosult, FR)
Union le 7.2.1747 au Rosult, FR
481 Marie Anne VERDAVAINE (15.10.1723 Rosult, FR - ..)
482 Michel François BAUDUIN (1724 - 1786)
483 Marie Anne LAURENT (1732 - ..)
484 Louis Joseph CANIPEL (.. - 1771)
485 Rosalie RAVIART
486 Sébastien BERNARD (1734 - ..)
487 Marie Marguerite RAVIART (1732 - ..)
10°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
960 Jacques François CANIPEL (2.1687 Maulde, FR - 4.6.1730 Maulde, FR)
12.5.1716 Maulde, FR
961 Marie Magdeleine DUTRIEUX (2.7.1695 Marquain, 7522, Liège, Hainaut, BE - 2.10.1734 Maulde, FR)
11°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
1920 Etienne CANIPEL (11.1658 Saint-Amand-les-Eaux, FR - 3.10.1714)
Union le 21.6.1684 à Nivelles, FR
1921 Marie-Jeanne MALAISE (1660 - ..)
1922 Michel DUTRIEUX (1657 - 1725)
1923 Catherine Louise BULTEAU (1665 - 1704)
12°GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
3840 CANIPEL
3842 Nicolas MALAISE
3843 Isabelle DELECOURT
13° GÉNÉRATION------------------------------------------------------------------------------------------------
7686 Pasquier DELECOURT (Thun-Saint-Amand, FR - ..)
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Désiré WILLAI & de Marie CanipelDésiré Willai, fils de Jean-Baptiste Wuilay & de Marie Emilie Renoncourt. Né le dimanche 13 novembre 1892 à Nivelles, Nord-Pas-de-Calais, FR. Marié le samedi 8 mai 1920, à l’âge de vingt-sept ans à Château-l’Abbaye avec Marie Canipel, âgée de vingt-neuf ans, fille d’Adolphe Canipel et de Léocadie Rousseau.
Marie est née le mardi 3 mars 1891 à Château-l’Abbaye. Décédée le samedi 17 février 1940, à l’âge de 48 ans à Nivelles. Désiré est décédé le dimanche 30 mars 1975, à l’âge de 82 ans à Nivelle.
Désiré Willai et Marie Canipel ont eu trois enfants (deux filles et un garçon) :
1. Paulette Willai. Née le lundi 3 juillet 1933 à Nivelles. Mariée le 28 août 1954, à l’âge de 21 ans à Wiers avec Robert Valère De Wilde, âgé de 23 ans, fils de Gaston De Wilde et de Barbe Marie De Moor. Robert Valère est né le mardi 4 août 1931 à Wiers (Belgique). Il est décédé le jeudi 18 juin 1981, à l’âge de 49 ans à Lille.
2. Marcel Willai. Il est né à Nivelles. Il a vécu avec Marie Adeline Allard.
3. Marthe Willai. Elle est née à Nivelles. Elle a vécu avec Victor Bricman.
Génération 2
I. Paulette Willai et Robert Valère De Wilde ont eu deux enfants (une fille et un garçon) :
1. Dominique Estelle Claudette De Wilde.
2. Alain De Wilde. Né le jeudi 26 novembre 1964 à Nivelles.
II. Marcel Willai et Marie Adeline Allard ont eu deux enfants (une fille et un garçon) :
1. Nicole Willai
2. Daniel Willai.
III. Marthe Willai et Victor Bricman ont eu trois enfants (une fille et deux garçons) :
1. Jocelyne Bricman.
2. Joël Bricman
3. Jean-Michel Bricman.
Génération 3
I. Dominique Estelle Claudette De Wilde, fille de Robert Valère De Wilde et de Paulette Willai. Née le lundi 18 juillet 1955 à Saint-Amand-les-Eaux. Sa première communion à Nivelle le dimanche 7 mai 1967. Mariée le samedi 26 avril 1980, à l’âge de vingt-quatre ans à Nivelle avec Hervé Michel Saudemont, âgé de vingt ans, né le mercredi 18 novembre 1959 à Valenciennes, 59300, NORD, fils de Daniel Saudemont et de Liliane Lecat.
Dominique Estelle Claudette De Wilde et Hervé Michel Saudemont ont eu une fille :
Aurélie Saudemont. Née le samedi 27 février 1982 à Condé sur L’Escaut.
II. Alain De Wilde, fils de Robert Valère De Wilde et de Paulette Willai. Né le jeudi 26 novembre 1964 à Nivelle. Il a fait sa première communion à Nivelle le dimanche 4 mai 1975.
III. Nicole Willai, fille de Marcel Willai et de Marie Adeline Allard. Mariée le samedi 22 juillet 1972 à Hergnies, 59199, NORD avec Hervé Ponsard.
Nicole Willai et Hervé Ponsard ont eu deux filles :
1. Laurence Ponsard.
2. Corinne Ponsard.
IV. Daniel Willai, fils de Marcel Willai et de Marie Adeline Allard. Marié le samedi 26 décembre 1970 à Hasnon, 59178, NORD avec Léone Benoit, âgée de 21 ans. Elle est née en 1949.
Daniel Willai et Léone Benoit ont eu deux filles :
1. Stéphanie Willai. Née en 1981.
2. Pascale Willai.
V. Jocelyne Bricman, fille de Marthe Willai et de Victor Bricman. Mariée en juin 1972 à Saint-Amand-les-Eaux, lieu-dit "le Moulin des Loups", 59230, NORD avec Daniel Le Courriard. Né près de Versailles.
Jocelyne Bricman et Daniel Le Courriard ont eu une fille :
Catherine Le Courriard.
VI. Joël Bricman, fis de Marthe Willai et de Victor Bricman. Marié à Hergnies, NORD avec Nadia Turzinski.
Joël Bricman et Nadia Turzinski ont eu deux garçons :
1. David Bricman
2. Guillaume Bricman.
VII. Jean-Michel Bricman, fis de Marthe Willai et de Victor Bricman. Marié en région parisienne.
Jean-Michel Bricman et ... ont eu deux filles :
1. Mélanie Bricman
2. Bricman.
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Caractéristiques générales
Num Base : 88
Département : Nord
Lieu d'observation : NIVELLE
Latitude : 50,47
Longitude : +3,44
Date d'observation : 03 octobre 1954
Heure : 00 :15 heures
Durée (HH:MM:SS) : NC
Type d'observation : Visuel proche avec personnages
Nbre de témoin(s) : 1
Caractéristiques de l'objet
Nbre d'objet : 1
Type d'objet : boule lumineuse
Taille estimée : 2 à 5 mètres
Mouvement/Déplacement : objet au sol
Disparition instantanée : non
Caractéristiques de/des entité(s)
Nombre : 2
Description : Petits (1 mètre à 1,20 mètre) sans précision
Action : Discussion entre entités
Effets sur le témoin : Peur incontrôlée
Observation
Le témoin regagne St Amand les Eaux à vélo. Il suit le chemin de halage du canal qui longe la Scarpe. A la sortie de Nivelle il entend parler dans un langage qui lui est inconnu. "J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 m de diamètre. Auprès d'elle il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux." Epouvanté, il prend la fuite. Le lendemain il fait sa déposition à la gendarmerie.
Sources : Face aux Extra terrestres par Garreau et Lavier ** DELARGE 1975
Rapports :
[Ref. gl1:] CHARLES GARREAU ET OLIVIER LAVIER :
Charles Garreau et Olivier Lavier écrivent dans leur ouvrage que le 3 octobre 1954, à 0:15, à Nivelles, Marcel Sénéchal de Saint Amant-les-Eaux était en train de rentrer chez lui à vélo en suivant le chemin de halage du canal qui longe la Scarpe. En atteignant la sortie de Nivelles, il a entendu des voix s'exprimant dans un langage qui lui était inconnu.
Il raconte : "J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 mètres de diamètre. Auprès d'elle, il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux."
Il a pris la fuite, très effrayé, et a fait une déposition auprès de la gendarmerie le lendemain.
[Ref. bb1:] JACQUES BARTHEL ET GERARD BRUCKER :
Les auteurs indiquent que dans la région de Nivelles monsieur Sénéchal a entendu des bribes de conversations d'entités à grosses têtes lumineuses alors qu'il roulait à vélo.
[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON :
Les auteurs indique que le 3 octobre 1954 à 0:15 à Nivelles, Marcel Sénéchal, ouvrier métallurgiste, 20 ans, regagne Saint-Amand-les-Eaux à bicyclette en suivant le chemin de halage qui longe la Scarpe.
Au niveau de la "pâture Vandeville" à la sortie de Nivelles, il entend parler dans un langage inconnu, et en contrebas du chemin, sur sa droite, il voit une meule lumineuse de 3 mètres de diamètres d'où sort un rayon lumineux, et deux formes humaines de 1.20 mètres de haut, à grosses têtes, vêtues d'un vêtement brillant.
Il est épouvanté, fuit, et va raconter cela au commissariat de Saint-Amand. Mr. Gravet, le commissaire, et deux inspecteurs se rendent sur les lieux mais ne peuvent pas relever pas de traces.
Les auteurs indiquent que les sources sont "Face aux Extraterrestres" de C. Garreau et R. Lavier en page 128; Nord Matin et La Croix du Nord; bulletin du GNEOVNI N.5 "Chronologie d'un Dimanche fantastique" de M. Dominique Caudron.
[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE :
Godelieve van Overmeire indique qu'en 1954, le 3 octobre, en France, Nivelles (Nord), à 0 h 15 Marcel Sénéchal regagne St Amand les Eaux à vélo. Il suit le chemin de halage du canal qui longe la Scarpe. A la sortie de Nivelles il entend parler dans un langage qui lui est inconnu. "J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 m de diamètre. Auprès d'elle il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux." Epouvanté il prend la fuite. Le lendemain il fait sa déposition à la gendarmerie.
La source est indiquée comme "Face aux extra-terrestres" - Delarge 1975 - J'ai Lu, p. 132.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES :
99. Lieu. Près de Saint Amand-les-Eaux Nord France
Date: 3 octobre 1954
Heure: 0015A
Environ 15 minutes après minuit, un ouvrier de la métallurgie, Marcel Sénéchal, roulait en bicyclette sur le chemin de halage d'un canal quand il a entendu des voix; dans un pré voisin il a vu un objet sphérique d'environ 3 mètres de diamètre près duquel il y avait deux êtres, d'un mètre de taille, qui se parlaient l'un à l'autre. Leurs têtes étaient très grandes et leurs tenues lumineuses. Le témoin s'est sauvé. Le matin suivant il l'a rapporté aux gendarmes qui n'ont pas pu trouver la moindre trace quand ils se sont rendus sur le site.
Humcat 1954-20
Source: Joel Mesnard et Jean Marie Bigorne
Type: C
[Ref. jd1:] JEAN-PIERRE D'HONDT :
L'ufologue indique que le 3 octobre 1954 vers 1 h du matin, Mr Marcel Sénéchal, 20 ans, ouvrier métallurgiste rejoint la ville de St Amand les Eaux à bicyclette par le chemin de halage longeant la rivière la Scarpe. A la sortie de Nivelles 59, à la hauteur du lieu-dit "la pâture Vandeville", il a entendu une conversation dans un langage inconnu. En tournant la tête il a aperçu en contrebas du chemin sur sa droite ce qu'il a comparé à une meule lumineuse d'où sortait un rayon lumineux et à côté deux formes humaines d'environ 1 m 20, revêtues d'un vêtement brillant.
Affolé, il s'est enfui à toutes pédales et est allé raconter son aventure au commissariat de St Amand. Le commissaire, Mr Gravet, et deux inspecteurs, se sont rendus sur les lieux, mais n'ont relevé aucune trace.
Les références données sont les journaux "Nord Matin" et "La Croix du Nord", et le Bulletin du GNEOVNI N° 5.
[Ref. lc1:] LUC CHASTAN :
Luc Chastan indique que dans le Nord à Nivelle le 3 octobre 1954 à 00:15 heures le témoin regagne St Amand les Eaux à vélo. Il suit le chemin de halage du canal qui longe la Scarpe. A la sortie de Nivelle il entend parler dans un langage qui lui est inconnu. "J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 m de diamètre. Auprès d'elle il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux." Epouvanté, il prend la fuite. Le lendemain il fait sa déposition à la gendarmerie.
Luc Chastan indique que la source est "Face aux Extra-terrestres par Garreau et Lavier ** DELARGE 1975,"
[Ref. dj2:] DONALD JONHSON :
Donald Johnson indique que la première RR3 du 3 octobre 1954, s'est produite à 12:15 heure du matin à Nivelles, Nord, France. Un métallurgiste de 20 ans, Marcel Sénéchal, a été témoin d'un objet sphérique de trois mètres de diamètre au sol dans un pré près d'un canal. Deux êtres d'un mètre de haut ont été vus parlant entre eux. Leurs têtes étaient très grandes, et ils ont porté des costumes lumineux.
Les sources sont notées: "Sider, Jean, Dossier 1954 et l'Imposture Rationaliste, p. 181; Michel Figuet & Jean-Louis Ruchon, OVNI: Le Premier Dossier Complet des Rencontres Rapprochées en France, pp. 110-111."
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Nivelle ...Un village bâti sur une île
L’origine du nom vient de : ny « division » et de velle « habitation », indiquant que le village a été bâti dans une île formée par deux bras de rivière.
Nivelle est une commune très ancienne puisqu’on en parle déjà en 863. Des biens situés dans ce village furent en effet donnés, à cette époque, à l’abbaye de Saint-Amand-Les-Eaux par Charles le Chauve. La commune faisait autrefois partie du Hainaut et du diocèse de Tournai. Elle a également fait partie, après la Révolution, de l’arrondissement de Douai. Au XVIIème siècle, des fouilles faites par un abbé de Saint-Amand-Les-Eaux,au hameau d’Hauterive, ont fait découvrir des sépultures, des poteries, des objets divers et des monnaies de l’époque Gallo-romaine.
Entre la Vallée du Décours et la Vallée de la Traitoire
La commune de Nivelle est située le long du chemin départemental 268. Elle est traversée par la Scarpe canalisée. Elle fait partie du canton de Saint-Amand rive gauche.
C’est un village très étendu se situant entre la vallée du Décours et celle de la Traitoire, à 3 kms de Saint-Amand-Les-Eaux, à 16 kms au Nord-ouest de Valenciennes et à 40 kms de Lille.
De riches terres agricoles
Le village de Nivelle possède de riches terres agricoles, la superficie agricole utilisée est de 428, ha 182 ha en terre labourables et 246 ha en herbes. Le village compte 12 exploitations agricoles, 2 commerces d‘alimentation : une boucherie et une boulangerie et 6 commerces divers.
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♥J'ai grandi dans ce petit village du Nord de la France,
il est situé près de Saint-Amand-les-Eaux, ville où je suis née. ♥
Berceau de ma famille depuis plusieurs générations.
J'ai relevé 2185 événements pour ce village.
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La commune de Nivelle comportait différents lieux-dits... :
La Taillette, un lieu-dit chargé d’histoire
du nom de ce lieu-dit mais également du café qui se trouvait à l’angle des rues d’Hauterive, Paul-Willai et de Condé. Pour des raisons de sécurité il a été abattu voici plusieurs décennies. Ce mot résulte de la fabuleuse épopée de la mine. En effet, la taillette ou le jeton du mineur était une plaque de métal sur laquelle était gravé le numéro du mineur. Ce dernier la portait sur lui au cours de sa descente au fond de la mine. Ce café ouvrait très tôt le matin pour y accueillir ses premiers clients pour y déguster le café et la goutte des ouvriers certes mais aussi des mineurs qui se rendaient à pied au travail et cela à travers la forêt toute proche pour atteindre les puits de Raismes Sabatier ou encore Bruay et également le lavoir rousseaux. Ils empruntaient pour cela des chemins de taille ou un simple sentier piétonnier appelé « filet ».
qui n'existent plus de nos jours ...
J'ai répertorié ceux-ci dans mes actes généalogiques :
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Monts d'Hautrive
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Prairie d'Hautrive
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Juge aux Monts
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Bruyère aux porcs
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La petite prairie
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La grande prairie
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Le long pré
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Camp Pau Fosse
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Couture de Metz
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Le Mouliniau
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Couture Del Prière
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Mortier Saudeau
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Grand Roeux
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Seuve
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Coin de Taille
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Couture des Grands Trieux
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Bas du Proy
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Mont du Proy
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Le Fresnoy
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Dessous Nivelle
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Coprez
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Grand Champ
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Petit Berry
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La pâture Vandeville
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Château-l'Abbaye : une histoire…
Mille ans d'histoire dans un écrin de verdure Toponymie
Ce petit bourg dont l’origine remonte à l’époque gallo-romaine – Castellum Dei puis Castellum Juxta Mortaigne (Abbatia S. Martini de Castello Juxta Mauritaniam) change de nom après son rattachement à la France.
Selon la légende, le village tiendrait son nom de l’abbaye Saint-Martin fondée par le roi Louis-le-Bègue (846-879), abandonnée ensuite vers 1135 et restaurée en 1140 par le Châtelain de Tournai Evrard Radoulx et Prince de Mortagne, qui voulut y être enterré.
Ce monastère, de l'ordre des Prémontrés, qui jouissait de 25000 livres de rente dans les derniers temps, avait eu pour premiers hôtes des moines de l'abbaye de Vicoigne.
En 1141, l'abbaye est mentionnée dans les actes de l'évêque d'Arras Alvise.
Mille ans d’histoire à l’ombre du Château du Lucron et de l’Abbaye des Prémontrés sont effacés par la révolution…
Seul vestige, le moulin « Rodolphe » disparaît à son tour lors de la Grande Guerre. Depuis, Château-l’Abbaye a troqué son passé glorieux et mouvementé contre un avenir rural plus serein.
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La photographie numérique et les scanners nous permettent aujourd’hui de collecter une quantité illimitée de photos de famille. Les classer, les nommer et les géolocaliser peut rapidement devenir une tâche insurmontable.
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Origine du nom : l'ouverture de la fosse Saint-Roch eut lieu en 1764, le jour de la fête de ce saint.
Son implantation au sud de la fosse Saint-Thomas semble avoir été choisie pour la relayer en profondeur. Ce fut cependant Saint-Thomas qui termina l'exploitation du gisement de la fosse Saint-Roch dont l'unique puits n'atteignit que 178 mètres de profondeur.
Les neuf bowettes creusées à différents niveaux recoupèrent l'ensemble du faisceau nord de Vieux-Condé qui fut d'abord déhouillé aux étages les plus profonds. Cette précaution fut sage car l'état du puits, que nous trouvons comblé jusqu'à 73 mètres en 1805, entraîna assez tôt l'abandon des étages inférieurs.
Postérieurement à 1805, l'incendie de l'accrochage à 53 mètres qui fit onze victimes, eut pour conséquence la fermeture de cet étage. De sorte que la fosse SaintRoch n'avait plus alors en exploitation que le seul étage à 73 mètres où elle déhouillait les belles veines: Douze Paumes~ A. Filons et Cinq Paumes, qui pouvaient encore "donner de l'ouvrage pour dix-huit mois". Une grande série de "travers blancs inclinés" ayant leur base à cet étage auraient en effet permis de terminer l'exploitation à l'amont, mais que A. Filons, veine sale et peu rentable, resta seule à déhouiller, la fosse fut mise en chômage le 17 février 1806.
Dès lors, en dépit d'un plaidoyer chaleureux le 22 février 1803 qui tendait à prouver que l'exploitation par Saint-Roch eut été la plus économique, le puits ne servit plus qu'à l'aérage et à la circulation du personnel.
Son état inspirait de telles craintes qu'il ne fut même pas possible de.le conserver pour cet usage restreint. Il avait en effet fallu le croisurer sur toute sa hauteur "dans les rocs, tourtiat, dièves et les bleus, de peur qu'il ne croule".
Le cuvelage, qui était "consommé", avait lui aussi été consolidé par des "pièces de bois soutenues par des vis". La fosse Saint-Roch fut remblayée et serrementée dans les dièves, en même temps que la fosse Saint-Thomas au cours du mois d'octobre 1811.
Malgré la satisfaction manifestée lors de l'exécution de ce serrement qui réduisit l'exhaure de la fosse Vieille-Machine, les remblais du puits s'affaissèrent jusqu'au dessous du tourtiat et cela en mars 1820.
Le serrement fut reconstruit à cette date et le puits comblé à nouveau "jusqu'à la surface de la terre".
Sources : Cercle d’Histoire et d’Archéologie de Vieux-Condé
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Le nom et le prénom sont des éléments intimes de notre personnalité.
Mais si le prénom a été choisi, le nom de famille a été hérité :
il se transmet de génération en génération depuis plus de 800 ans.
Aujourd’hui, ces surnoms devenus noms de famille ont parfois un sens qui
nous semble évident (Petit, Legrand, Meunier...).
Mais le plus souvent, ils sont indéchiffrables au premier coup d’œil :
(Parsy, Planquette, Pouillaude...).
Ou bien le sens apparent est trompeur (Bigot ne désignait pas un homme
dévot mais un ouvrier agricole).Les patronymes sont nombreux.
Du grec patros et onoma, nom du père. Matronyme: nom de la mère. (In Nomine Patris, en latin, veut dire: au nom du père).
Autrefois, les gens n'étaient connus que par leur prénom. Dans toutes les cultures, le prénom permettait de distinguer le nouveau membre de la tribu. Pendant longtemps, il a suffit et le nom de famille n'existait pas. Vrai un peu partout en Europe durant le premier millénaire. S'il fallait distinguer deux personnes de même prénom, le nom du père suffisait. Le nom de famille fait son apparition à la fin du Moyen Âge (XIIe siècle en France) sous l'effet de la croissance démographique et des échanges commerciaux ou culturels. Au départ, les patronymes rappellent le métier, le lieu ou une caractéristique typique, puis ils se diversifient au gré de l'imagination.
J'ajouterais au fur et à mesure certains prénoms très originaux et bizarroïdes ... ^^
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Un nom de famille est plus qu'une signature au bas d'un formulaire, c'est une photographie de nos origines les plus anciennes, la marque d'une identité ancrée dans les profondeurs du passé, la preuve de notre existence sur terre, la conscience de notre singularité et le produit de milliers d'individualités.
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La fosse du Chauffour, nommée fosse la Pensée fut foncée en 1822 à Abscon par la compagnie des Mines d'Anzin, sur un gisement gras et demi-gras et au sud-est de la concession de Denain.
L'extraction commence en 1824 et cesse en 1871, ses veines étant exploitées par les fosses Casimir Périer et Saint Mark. La fosse a extrait : 337.850 tonnes. Elle sert ensuite à l'aérage de Saint Mark. Profondeur finale : 594 m. La fosse sera frappée par 2 coups de grisou.
Le 9 avril 1823 : 22 morts.Le 26 juin 1824 : 20 morts
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